Sushis, néons, lanternes et origamis : on se croira à Tokyo à la soirée micro house Undergroove

Écrit par Chloé Sarraméa
Photo de couverture : ©D.R.
Le 15.02.2018, à 14h28
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©D.R.
Écrit par Chloé Sarraméa
Photo de couverture : ©D.R.
La soirée Undergroove vient poser ses valises dans une warehouse parisienne le samedi 24 février, de 14H à 2H. Une soirée micro – roumaine, allemande et parisienne – sous le thème du Japon avec des installations plus impressionnantes et délirantes les unes que les autres.


Undergroove revient pour une deuxième soirée, japonisante cette fois, intitulée Dai 2-shō. La première warehouse – organisée par le collectif Gala Électronique – s’était déroulée au Hangar Bagnolet en octobre dernier, sur le thème de la « nature psychédélique ». Des champignons géants avaient été dressés en guise de décor : hallucination garantie. L’objectif du collectif ? Organiser des warehouses chill et plonger le spectateur en totale immersion dans le thème, avec l’ambition de casser le « cliché de la soirée micro hardcore ». Mister Mojo, instigateur de l’évènement, précise que l’objectif tend aussi à « investir des lieux fancy », propices à « la fête comme au chill ».

Au sein de cette toute nouvelle warehouse de 1 100 m²,  au nord de Paris, trois espaces seront habilités. D’abord, une Jiin Stage (ou Main Stage) insonorisée, décorée de cinquante lanternes japonaises, dans laquelle un mapping – réalisé par l’artiste Anto Do du collectif Capsule – sera projeté. À coté du DJ, des singes japonais viendront hanter la salle, tandis qu’un gong géant (de 2m sur 1m) – accessoire réalisé par un menuisier – retentira afin d’annoncer la venue d’un nouvel artiste derrière les platines. Un « Hall of Art » sera érigé en guise de deuxième espace. En son sein, les spectateurs trouveront une machine à bulles géante (« qui fonctionnera toute la journée », dixit Mister Mojo), un « stand paillettes » avec distribution de bonbons (avis aux gourmands), et, bien sûr, une scénographie « ambiance néons » sur le thème du Japon. La signature du collectif Gala Électronique, c’est leur zone « Chill’Art », réalisée par l’Atelier Kraft. À noter qu’un espace de restauration y sera installé, dans lequel des sushis seront réalisés « toute la journée par un chef » dans un « sushi bar ». Vous pourrez déguster des mets japonais tout en réalisant vos propres origamis, confortablement installés sur des palettes en bois recyclé.

Côté son, un « soundsystem fait main » par le collectif Neighbor Hood. Derrière les platines, pas de DJ’s japonais, mais bel et bien des prodiges de la micro house. Le roumain Gruvescu (pour un set de 3H) et l’Allemand Chris Geschwindner se succèderont aux platines (et joueront pour la première fois en France), suivi d’un b2b d’anthologie entre Charlotte Vannuchi et ABI. Enfin, un live du Parisien Adah, ainsi qu’un set du fondateur de Gala Électronique (également organisateur de la soirée), Mister Mojo.

Avis aux amateurs : si le déguisement n’est pas obligatoire, il est de rigueur, puisque chaque personne ayant joué le jeu se verra offrir un shot. La personne qui portera le meilleur déguisement repartira avec un magnum de rosé sous le bras. 

Pour se procurer des places, rendez-vous sur la page Facebook de l’évènement.

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