Épisode 1/ Mais, au fait, c’est quoi l’italo ?
C’est bien le problème avec cette musique : personne ne sait exactement ce que c’est. Ou plutôt, chacun y accole un adjectif différent. Puissant ou cheesy, vocal ou dub, kitsch ou fondateur. Mais tout le monde est d’accord : c’est un style bien particulier. “ Nous qui faisions des expérimentations personnelles, nous ne pensions pas que nous étions en train de créer un genre musical : c’est dix ou quinze ans après qu’on a commencé à employer la définition d’italo-disco.” Ces mots sont de Manlio Cangelli, un des producteurs les plus importants, avec près de 60 titres écrits ou arrangés pour lui ou pour d’autres, dont quelques titres parmi les plus marquants…
Épisode 2/ Giorgio Moroder, la grande interview à l’italienne
À l’occasion de sa venue à Paris, les 9 et 11 juillet, pour deux dates exceptionnelles, nous avons rencontré Giorgio Moroder. Figure la plus citée de l’italo-disco, même s’il s’en distingue en de nombreux points, nous nous devions de discuter de cet âge d’or avec celui qui ce grand Monsieur, légende vivante de la musique électronique. À l’italienne.
Épisode 3/ Les plus grands labels de l’italo-disco
Certains sont devenus mythiques, d’autres sont vieux de cinq ans à peine. Trax ne saurait être exhaustif sur le sujet : on ne compte plus les sous-labels obscurs, ou, a contrario, les énormes maisons de productions industrielles. Alors, forcément, ce tour d’horizon se limitera à une sélection subjective. Si la curiosité vous démange, on ne vous conseillera jamais trop de vous perdre dans les méandres des pages de ce merveilleux outil qu’est Discogs… Pour sa part, Trax a sélectionné pour vous deux titres de chacun des labels. Avanti !
Épisode 4/ Les clips les plus kitsch et grandioses de l’italo
Pour ce quatrième épisode, Trax vous emmène cette fois-ci dans le monde merveilleux de l’esthétique italo. Ouvrez grand les mirettes, parce que les années 1980, qui sont celles du début du clip vidéo, valent le détour : bienvenue au royaume du kitsch, du strass, de la télé berlusconienne et du pas de dance disco futuriste sur fond de guerre des étoiles. Andiamo !
Épisode 5/ Les 15 plus grands producteurs de l’histoire
Place cette semaine à une belle flopée de quinquagénaires – voire sexagénaires – transalpins. Trax vous présente les méconnus et pourtant légendaires producteurs de l’Italo, en s’en tenant strictement aux fondateurs italiens ; pour les héritiers ayant pullulé un peu partout depuis, ce sera pour un prochain Summer of italo. La sélection ? Forcément subjective, et, reconnaissons-le, personnelle…
Épisode 6/ Flemming Dalum, la saga du Danois devenu roi de l’italo
Trax vous présente une des personnalités les plus marquantes : Flemming Dalum. Un nom pas vraiment italien, et pour cause, Flemming est Danois, et son histoire est folle. C’est celle d’un homme emporté par sa passion, qui a consacré une bonne partie de sa vie à l’italo. À 20 ans, découvrant cette musique, Flemming a pété un câble : il est parti en Italie acheter les vinyles. Tous les vinyles. Bienvenue sur sa planète.
Épisode 7/ Les grands oubliés de l’italo-disco
Ils s’appellent Patrizia, Alessandro, S.C.O.R.T.A, Federica, Claudio… Ils ont souvent fait une chanson, obscure, oubliée de tous, qui parfois même n’a jamais été connue du grand public… Mais grâce au revival italo initié au début des années 2000 par I-F, ou aux gardiens du temple comme Flemming Dalum et Marcello Giordani, qui ont conservé les disques et la mémoire de cette période, certains sont revenus sur le devant de la scène. Quand ils le veulent bien…
Épisode 8/ Les dignes héritiers de l’italo-disco aujourd’hui
Italo never ends ! Pour clore cette série d’été en beauté, retour à notre époque : trente ans après l’âge d’or de ce que d’aucuns considèrent aujourd’hui comme la première musique électronique dancefloor née en Europe, Trax vous emmène aux pays des héritiers de l’italo-disco. Car la génération qui fonda ce mouvement musical, si elle défend souvent avec force cette musique, a donné naissance à de nombreux petits-enfants subjugués par ce son. Place aux jeunes !