Ce qui différencie le Snowbombing de l’offre grandissante de festivals, c’est avant tout son cadre qui le classe sans conteste dans les meilleurs lieux de festival au monde. Perché sur la station de ski autrichienne Mayrhofen, on y danse entre un club taillé dans la neige à 2000 mètres d’altitude, une scène posée dans une forêt de pin, avec d’authentiques chalets et bars post-ski… Avec pour paysages les sommets de la chaine alpine.
Mais la véritable recette du Snowbombing c’est la qualité du line-up. On y retrouve côte à côte les grands noms de l’électronique généraliste et les pointures underground reconnues sur la scène club mondiale. Et certains sont encore à annoncer.
C’est ainsi qu’il sera possible de scander les moufles en l’air les refrains d’un Skepta, d’onduler sur la funk langoureuse des Jungle, de chanter à tue-tête les classiques d’un Fatboy Slim, de pogoter sur du Prodigy et du Noisia. Voire même du Wilkinson qu’on retrouve sur cette vidéo des moments forts de 2015 avec son titre drum’n bassy “Afterglow”.
Côté club, du lourd : on y retrouve le ponte d’Ibiza Sven Väth, l’un des maîtres du Berghain Marcel Dettmann, ou tout une armée de colosses allant de Kerri Chandler aux Martinez Brothers ou encore de Groove Armada à la techno plus expérimentale de Mind Against, Danny Daze ou d’un Henrik Schwarz.