Tables rondes, expositions, ateliers, concerts… Du 3 au 9 juin, le festival K-live va célébrer le street art dans les rues de Sète. Pour sa onzième édition, l’évènement pionnier du genre met à l’honneur les contre-cultures actuelles sur les murs de la ville. Présenté comme un musée à ciel ouvert, cet ensemble d’oeuvres constitue une balade artistique et pittoresque le long des quais, sur les canaux ou encore dans les ruelles typiques du quartier haut. « Un musée à ciel ouvert pour une ville-galerie », peut-on lire sur le site Internet.
Le mercredi, rendez-vous donc au Réservoir pour “K-Libre”, le vernissage collectif du sculpteur espagnol Isaac Cordal, du peintre classiciste contemporain Andrea Rave Mateoni, l’autodidacte Maye, l’abstraite Nuria Mora, de la parisienne inclusive Laho, et enfin du fracassant Dr Ponce avec ses monstres sympathiques et récits de vie touchants.
Dès le vendredi, le rappeur belge Hamza ouvrira le bal des live, qui ponctueront le festival tout au long du weekend. Le français Cheu-B invitera les festivaliers dans son univers, “Skyland”, juste avant que le grand Myth Syzer n’impose ses tubes langoureux, à l’image d’un hip hop intemporel. Samedi, les iconiques représentants de la French Touch, Cassius, répandront leurs beats house et samples de disco filtrée dans toute la ville. Le closing sera quant à lui réservé à Todiefor, le belge trash et trap ami des “Cool Kids”, juste avant un after animé par Piñata Radio sur la plage privée Coté Mer.
K-live jettera son ancre sur la mythique scène du Théâtre de la Mer, le balcon de la Méditerranée où la culture s’apprécie les pieds dans l’eau, les yeux rivés vers le large. Toutes les informations sont à retrouver sur la page Facebook des évènements.