Retournez sur le dancefloor de Jérôme Pacman, en 1993

Écrit par Sylvain Di Cristo
Le 01.04.2016, à 11h11
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Écrit par Sylvain Di Cristo
Incontournable artiste de cette période bénie des fêtards, Jérôme Pacman revient avec nous sur l’année 1993, où comment le DJ y cassait le dancefloor. À l’occasion de son passage au Dièze de Montpellier aujourd’hui, ce vendredi 1 avril (pour la soirée Origin pour laquelle Trax vous fait gagner vos places), Pacman nous fait remonter le temps avec 10 de ses tracks clés.

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“J’ai choisi uniquement des morceaux de 1993, parce que j’aurais pu en mettre 50 si on remontait jusqu’en 1990…”

Moby – All I Need Is To Be Loved (Moby Dub)


Un des Moby que j’ai joué quand tout le monde était dedans (les meilleurs étant pour moi ceux d’avant 1994). Il y avait une sorte d’extase, je pouvais tout mettre derrière, ça annonçait généralement une suite bien hypnotique et love.

HAWKE – 3 Nudes Having Sax On Acid

Ce morceau pouvait suivre la fréquence lancée par le Moby par exemple, plus intime, pour des soirées friendly, avec de belles harmonies. Sentimental aussi.

Motorbass – Visine

Le premier EP de Motorbass (Zdar/de Crécy). Hypnotique, minimal, tout dans l’atmosphère.

KC Flightt – Voices (Dub Mix)

Quand on organisait des after hours, Guillaume La Tortue et moi commencions souvent par ce morceau, ça en devenait un rituel, un appel à la tribu.

Classic EP – Forever Mix 2



Intime, délicat, presque fragile, et tout en finesse. Que dire de plus.

The Martian – Stardancer

Morceau techno labelisé Underground Resistance. Très technique et technologique. C’était un hit.

LFO vs Fuse – Loop

Celui-ci est un classique, c’est un des rares morceaux que l’on pouvait entendre à la fois dans une soirée house ou dans une rave techno (je parle de la version soft). Il apportait de manière fulgurante un moment de grâce au beau milieu de la cavalcade de BPM endiablés.

Transform – Transformation

Morceau original pour l’époque, enchanteur et enchanté, il s’est vite épuisé, comme une chanson qu’on a trop écoutée, mais les premières fois étaient magiques.

House Hallunicinates – Prisoners Of Ecstasy

La spirale infernale, puissant et aérien à la fois, grosse atmosphère, un univers à lui tout seul.

Serpico – Just Can’t Stop

Ça a été mon all day & night pendant un moment. Il est de 1992, c’est celui, à mon sens, qui a marqué l’apothéose de la progressive house première génération.

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