Pourquoi Max Cooper s’est installé en Corrèze pour créer son nouveau live entre piano et électronique

Écrit par Léna Baux
Photo de couverture : ©D.R
Le 28.02.2019, à 12h45
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Écrit par Léna Baux
Photo de couverture : ©D.R
Glassforms” est le nouveau projet du producteur Max Cooper et du pianiste Bruce Brubaker. Ce dernier est en préparation en France, dans le cadre d’une résidence en plein cœur de la Corrèze. Leur live hybride entre électronique et piano reprend l’une des œuvres pour piano solo du compositeur Philip Glass. Une représentation est prévue à la Philharmonie de Paris, le 18 mai.

Le producteur Max Cooper, se lance dans un nouveau projet : l’alliance de la musique classique instrumentale et de l’électronique. Dans une résidence à Uzerche en Corrèze, il s’est penché à l’aide du pianiste Bruce Brubaker sur l’une des nombreuses œuvres pour piano solo du grand compositeur Philip Glass, pionnier des musiques minimalistes.

« Dans la musique classique et dans le monde du piano en particulier, on cherche la perfection. », développe Max Cooper, qui semble inscrire sa démarche dans une visée différente. « Les musiciens classiques travaillent chaque jour pour exécuter parfaitement le morceau comme une machine. Mais quand on a déjà une machine qui fait de la musique électronique, on cherche à prendre le contre-pied, apporter des imperfections pour rendre la musique plus humaine. »

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Les œuvres de Philip Glass sont marquées par des structures répétitives, finalement semblables à celles de la musique électronique. La collaboration de Max Cooper et de Bruce Brubaker vient donc incarner ces similitudes et cherche à rapprocher ces deux univers musicaux.

Les deux musiciens, présenteront leur live électronique/piano à la Philharmonie de Paris le 18 mai ou encore à Barcelone au Sónar Festival le 19 juillet.

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