Paris : une soirée exceptionnelle au Centre Pompidou croise musique de club et chanson française

Écrit par Chloé Sarraméa
Photo de couverture : ©D.R
Le 09.02.2018, à 11h34
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Écrit par Chloé Sarraméa
Photo de couverture : ©D.R
En parallèle de l’exposition du sculpteur César et de celle de la designer Sheila Hicks, viennent s’installer, le temps d’une soirée, trois artistes électroniques au sous-sol du Centre Pompidou. Rendez-vous le vendredi 2 mars à partir de 20h30. 

Le premier weekend du mois de mars, les Spectacles Vivants du Centre Pompidou invitent – dans leur grande salle du sous-sol – trois artistes électroniques français.

Ils programment d’abord la compositrice Vale Poher, afficionado des synthétiseurs, dont elle habille les mélodies de textes en français. Vale Poher débute la musique au sein d’un groupe de rock, Mensch, avec lequel elle sort deux albums (Mensch, en 2012 et Tarifa, en 2015). La musique de son album – Pacific Peplum, sorti en 2017 – est fortement influencée par celle de John Talabot, notamment, qui produit sur Young Turks, Permanent Vacation et son propre label Hivern Discs.

La soirée se poursuit avec un concert du Parisien Titus D’Enfer, dont l’EP éponyme est sorti en 2016 sur le label français Fin de siècle. Sa musique est un savant mélange de pop et de musique électronique.

Enfin, la soirée se clôture sur un live de Malik Djoudi, dont les sons oscillent entre la variété et la musique de club. Un timbre pointu à la M, des beats mélodieux et éthérés à la James Blake : voilà la recette de son premier album, UN, que Malik Djoudi présente en tournée dans toute la France depuis avril dernier.

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