Paris : des légendes du gabber, de la trance et de la bass music parmi les premiers noms du Dream Nation

Photo de couverture : ©DreamNation
Le 17.04.2018, à 17h22
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©DreamNation
Photo de couverture : ©DreamNation
À peine cinq ans et déjà devenu l’un des festivals incontournables de la rentrée, le Dream Nation nous revient avec une première poignée de headliners. Les 21, 22 et 23 septembre, aux Docks de Paris, au Petit Bain et à La Plage de Glazart, scènes trance, hard beats, bass music et techno accueilleront leur lot de légendes pour faire danser les foules.


Dream Nation réinvestit trois lieux à Paris pour accueillir 17 000 festivaliers, pour trois
jours de fête totalisant 6 scènes. Réputé pour sa diversité des genres électroniques, le festival rassemble chaque année aussi bien les technoides, les tranceux, bass heads et autres teufeurs  autour de son slogan « One Dream, One Nation ». Les hostilités commenceront lors d’une soirée trance au Petit Bain, avant de rugir dans les Docks de Paris le samedi et finir en beauté les pieds dans le sable sur la Plage de Glazart le dimanche. Un week-end complet, pour tous les goûts.

Pour ce qui est de la programmation, seule une poignée de noms s’est pour l’instant échappée de la programmation, mais promet déjà une belle aventure. Comme à son habitude, le festival fait monter sur scène des talents déjà réputés comme émergents, français et internationaux. Cette année, la scène techno sera animée par les énergies de Paula Temple et du rare trio LSD en live, composé de Luke Slater, Steve Bicknell et Function, réunis pour la première fois à Paris. Côté trance, le festival accueille le célèbre duo israélien Vini Vici ainsi que DJ Tristan, tout droit venu de Londres, flirtant avec les berges du littoral de Goa. La scène Bass Music aura l’honneur de recevoir l’un des chefs de file du genre Rusko, vétéran de la scène britannique originaire des bas-fonds de Leeds, tandis que la tête d’affiche Angerfist, héros du gabber néerlandais et justicier masqué de la scène hardcore, fera vibrer les murs (et les sols) de la Hard Stage.

Huit artistes que l’on ne présente plus, et qui seront très vite accompagnés d’une quarantaine d’autres, pour une fête partagée et débridée. Pour accompagner sa sélection musicale de premier choix, le festival prévoit cette fois des mappings et visuels 3D en pagaille, et tout un tas d’animations : échassiers, jongleurs et cracheurs de feu, ainsi que des manèges qui donneront même au festival une allure de fête foraine.

Pour plus d’informations sur la programmation complète, on vous invite à suivre la page Facebook du Dream Nation. Les early birds sont déjà disponibles à la vente.

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