Nombreux sont ceux à s’être déjà demandé quel serait leur nom de scène s’ils devenaient DJs. Qu’il s’agisse d’un choix trivial ou d’une décision difficile, certaines inspirations se révèlent très bien pensées tandis que d’autres s’avèrent être de très mauvais goût. Pour preuve, notre sélection DJ Pérave des pires noms de DJs. Dans le même genre d’initiative, l’année dernière un festival de tech, breakcore et hardcore, le Freakwenz Fest à Berlin invitait les utilisateurs à générer, grâce à un site dédié, des noms berlinois de DJs de minimale. Inventés bien sûr, comme les noms de collectifs ou de labels situés en dessous et surtout dotés d’une ironie acerbe frôlant le cynisme.
Bref, des railleries communes à celles que les différents sous-genres de la musique électronique peuvent s’adresser entre eux mais qui pour le coup étaient si bien pensées qu’on pourrait croire qu’ils existent en réalité. Exemple ? Hermann Garnier, Piotr Zuhause, Regis Müller, Dorian Automatik, Oliver Blau, Heinz Chevalier ou encore les labels comme P-Berg Chic (en référence à la gentrification du quartier de Prenzlauer Berg), East Side Records, Audiomucke, Gold Kommune… Allez à vôtre tour.