La plateforme britannique Keep Hush – spécialisée dans l’organisation et la promotion d’ évènements de dance music – a réalisé une enquête du nom de “U Going Out” pour en savoir plus sur les habitudes de sorties des millenials et des membres de la Gen Z depuis la pandémie. Leur point commun ? Les deux générations affirment avoir un goût moindre pour le clubbing. Les raisons les plus fréquentes : ils n’arrivent pas à convaincre leurs amis de les y accompagner lorsqu’ils en auraient envie, et la plupart du temps, ils préfèreraient rester chez eux. Il semblerait également que la Gen Z se soit désintéressée de l’alcool et des psychotropes et considère n’avoir ni le budget, ni l’énergie nécessaire pour l’entretien d’une night life. Ils sont moins d’ailleurs moins susceptibles d’acheter des tickets avant un événement que leur génération précédentes, se considérant “plus spontanés”.
Quelques différences subsistent entre les avant 1997 et les après 97 – la Gen Z – qui, par exemple, cite comme argument pour sortir l’envie de “s’éclater”, lorsque les millenials songent à écouter de la bonne musique. En d’autres termes, la génération Z sort pour une house party entre familiers, tandis que les millenials recherchent un cadre cool. Ce qu’on observe finalement, c’est que nos nouvelles générations adoptent de plus de plus la culture cocooning, accompagnée d’une rationalité croissante en matière de dépenses financières.
Il semblerait aussi que notre génération préférerait être au chômage qu’avoir un job déprimant. On vous laisse relire.