Le DGTL organise un festival dans le festival au gigantesque Amsterdam Dance Event

Écrit par Trax Magazine
Photo de couverture : ©Jordy Brada
Le 04.10.2018, à 17h53
02 MIN LI-
RE
©Jordy Brada
Écrit par Trax Magazine
Photo de couverture : ©Jordy Brada
Le DGTL festival, atterrira à Amsterdam du 18 au 20 octobre, dans le cadre de l’Amsterdam Dance Event, le salon géant dédié à la culture électronique. Et grâce à une recette qui mise autant sur l’accessibilité de son line-up que sur le détail de ses installations visuelles, il est l’un des événements les plus attendus parmi la centaine qui feront vibrer la capitale néerlandaise.


Le festival DGTL, qui fait cohabiter le son des emblèmes de la musique électronique, les arts visuels et des valeurs de développement durable, s’associe à nouveau cette année, du 18 au 20 octobre, au géant Amsterdam Dance Event, qui propose à toute la ville de devenir électronique (du 17 au 21) en invitant 2200 artistes et conférenciers. Et c’est au cœur de la warehouse de Scheepbolswoods NDSM que le DGTL a promis de continuer sur la ligne qui a fait de lui l’un des événements sans lequel « l‘ADE ne serait pas l’ADE ».

Sur les cinq jours de conférences, workshops et soirées (dans plus de 160 lieux de la capitale néerlandaise) organisées par ce dernier, le DGTL a retenu l’attention des organisateurs, grâce à d’un côté un line-up assumé de têtes d’affiches techno, de l’autre des installations visuelles détaillées, futuristes et industrielles, et une volonté de laisser la plus petite empreinte écologique possible (repas exclusivement végétarien, recyclage de l’urine…) lors de ses éditions passées (Barcelone, Madrid). Après s’être instruit durant le jour, voici les performances nocturnes à ne surtout pas louper lors de cette édition 2018 du DGTL ADE.


   À lire également
Pourquoi le DGTL d’Amsterdam est encore une fois en avance sur son temps

L’un tribal, l’autre spatial, les DJ sets des parrains de la techno Floorplan aka Robert Hood, célèbre pour avoir marié le gospel à l’électronique, et Jeff Mills, qui après l’album cosmique Planets, a enregistré une série de podcasts avec la NASA (The Outer Limits), auront toute leur place le 18 octobre au sein des scénographies industrielles et avant-gardistes propres au DGTL : « Notre volonté est en effet de créer des scènes qui impressionnent, avec des éléments bruts, industriels ». Sous les lasers et les projections visuelles, les cymbales et les synthés saturés de la house lo-fi de Mall Grab, certes dans un autre registre, devraient eux-aussi prendre une dimension nouvelle, céleste.

Au fond de la warehouse située près des docks est aussi attendu le live du duo irlandais Bicep. Encore une fois à l’image de la philosophie du DGTL, les compères originaires de Belfast oscillent entre house funky orientée dancefloor, et expérimentations minimalistes, aux frontières de la drum’n’bass. Des jam en live, il y en aura d’autres. Lors de la soirée du 19 octobre, DGTL x Paradise (le résidence de Jamie Jones, qui se produira aussi en DJ set), ce sont Dubfire, puis Âme et KiNK, deux icônes de la house mélodique en live B2B pour la première fois, lors de l’ultime soirée du 20. Cette dernière, curatée par Bonobo (et son projet Outlier), est malheureusement déjà sold out.

Le DGTL Amsterdam, c’est du 18 au 20 octobre prochains.

Newsletter

Les actus à ne pas manquer toutes les semaines dans votre boîte mail

article suivant