6 500 festivaliers sont attendus du jeudi au dimanche pour profiter d’une programmation artistique éclectique entre techno, hardcore, house et trance, accompagnée de sa scénographie sur le thème de la nature. Un espace propice à la rencontre des publics dans un climat de respect et d’échange. Car la particularité de cette cinquième édition, c’est aussi sa démarche écoresponsable, qui mettra à disposition des festivaliers des produits bios et locaux, un camping gratuit, des services de covoiturage et bus, ainsi que l’accès à des toilettes sèches et au tri sélectif.
Les artistes seront répartis entre deux espaces principaux : une scène techno et une scène trance. La première accueillera notamment des poids lourds comme Oliver Huntemann ou Droplex dans un style minimal, Reinier Zonneveld pour l’acid ou encore Marco Bailey pour une techno façon Drumcode. En house, on retrouvera des artistes comme Archie Hamilton ou Sharam Jey pour assurer des ambiances tech house et micro. Et pour les plus virulents, Le Bask, Vikkei ou Dave The Drummer se chargeront de faire monter le BPM au plus haut niveau. Goa, psy et trance progressive s’enchaîneront sur l’autre stage, jouées par Major7, Talpa, le duo Dirty Saffi ou le crew Iboga Records représenté par Emok et Daniel Bernardo, qui se produira sous ses deux alias Skyfall et Menog, pour des sets prog et dark.
Des coins chill et un village de stands seront également prévus sur le site du festival. 72H de fête sans interruption, cela nécessite bien quelques moments de répit.
En plus de son engagement écologique, Son Libre s’engage aussi à reverser une part des bénéfices du festival à l’association ANGE, qui défend les droits et intérêts des enfants en Afrique, et aide également les populations dont la vie est en danger suite à des catastrophes naturelles ou conflits survenus dans leur région. Une démarche exemplaire.
Pour plus d’informations sur l’événement et la programmation complète, rendez-vous sur la page Facebook de l’événement.