Expo, live, ateliers: Le festival Kaleidoscope Manifesto revient à Paris et célèbre l’art contemporain et sa pluridisciplinarité

Écrit par Clarisse Prevost
Le 27.06.2022, à 15h39
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Écrit par Clarisse Prevost
Le magazine Kaleidoscope et GOAT collaborent pour une nouvelle édition du festival Kaléidoscope Magazine et invitent une beau line-up d’artistes, designers, vidéastes, architectes & more.

Le magazine de design Kaleidoscope s’associe cette année au revendeur GOAT pour son Kaleidoscope festival qui célèbre l’art et ses différents médiums : mode, vidéo, cinéma, architecture. Centrée autour de la question de l’individualité et de notre unité dans le temps, y sont explorées les frontières entre homme et machine, réalité et fiction, contemplation et désir. Du 25 au 28 juin, les entités vont donnent rendez-vous dans l’ancien siège de Parti Communistes – l’espace Niemeyer – pour assister à une  myriade d’activités dont des workshops, talks, d’ateliers, installations, DJ sets et lives.

Parmi les artistes exposés à l’évènement, on peut compter Sterling Ruby, H.R. Giger, Lee Scratch Perry, Mowalola, Guillermo Santomà, Pol Taburet, Sara Sadik, Anne de Vries et Hajime Sorayama – dont on vous parlait à l’occasion de sa dernière exposition CYBER LADIES’WORLD. Côté musique, il y aura des performances de Low Jack avec le chanteur franco-sénégalais Le Diouck (Boukan Records), l’artiste britannique John Glacier, Pigbaby, L’Rain, et Anonymous Club. Côté vidéo, vous pourrez découvrir les travaux de Meriem Bennani, Korakrit Arunanondchai, Bunny Rogers, Martine Syms; des ateliers de Air Afrique, Classic et Armature Globale et un pop-up café du restaurant afro-caribéen vegan Jah-Jah.

Ils expliquent : « Dans ce cadre unique, KALEIDOSCOPE Manifesto réunit des artistes et des créateurs visionnaires issus de différents domaines de la culture pendant trois jours de conférences, d’ateliers, d’installations et de performances musicales. Les installations transforment le bâtiment en un paysage onirique peuplé de créatures imaginaires, négociant les frontières entre l’homme et la machine, la réalité et la fiction, la contemplation et le désir.
Parallèlement, la programmation quotidienne, qui couvre l’art, la mode, l’architecture, la musique et le cinéma, s’interroge sur ce qui fait que nous sommes “nous” et sur les formes de notre individualité et de notre unité dans le passé, le présent et l’avenir.
»

On vous laisse checker la programmation en détail sur la page du projet. On s’y voit.

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