En 2018, la revue Tanz Magazine nomme Trajal Harrell "Dancer of the Year" (danseur de l'année). Cette distinction et les réflexions sur l'estime (de soi) qu'elle suscite sont le point de départ de ce solo.
Trajal Harrell se frotte au périlleux exercice de l'(auto)-représentation. Il met en regard sa singularité, son esthétique et ce titre honorifique qui déclenche en lui un double questionnement : que signifie une telle désignation pour la danse ? Que signifie la danse pour lui ?