On n’arrive toujours pas à savoir si le concept est tout à fait mignon ou franchement inutile. La carte postale vinyle, ou comment écrire à ses proches en musique, une idée vieille de 60 ans reprise aujourd’hui par l’entreprise autrichienne Vinylpostcards.
Vendues dans les années 60-70, les cartes étaient à l’époque fabriquées avec un processus de dorure à chaud. Le rendu, très polluant est très cheap, n’excellait pas non plus sur la qualité sonore et sa durabilité. Le concept était donc surtout un gadget à durée très limitée et n’a jamais convaincu la foule à le considérer comme un objet de valeur, utile et poétique.
Mais c’était sans compter l’arrivée de Vinylpostcards sur le marché. Après cinq ans de travail acharné, la compagnie a finalement réussi à développer un objet aussi esthétique que sonore. Des années d’expérience dans l’ingénierie du son et un processus de moulage par injection high tech ont permis la production d’un produit résilient et impeccable.
L’objet se présente de cette façon : le format de la carte postale est normal, mais à la place d’une photo de touriste, le recto est gravé avec les sillons d’un morceau ou sample préalablement choisi ou composé. Un trou au milieu permet de la poser sur sa platine et de déposer le diamant dessus. Au verso, on vous laisse imaginer les mots d’amour ou les anecdotes de vacances que vous y écrirez.
Bon, d’accord, on a été mauvaise langue, c’est une chouette idée. Pour commander votre carte postale musicale, c’est par ici.