À lire également : Pourquoi l’ecstasy est-il si fort en ce moment ?
En Autriche, les clubbers ont la possibilité de donner leur pilules à des scientifiques qui testent leur composition. Ils sont situés à l’entrée des boîtes et financés par le service de santé de la ville. Trente minutes plus tard, un papier de couleur est affiché pour indiquer le taux de dangerosité du produit, ce qui inciterait les producteurs d’ecstasy à utiliser moins de substances nocives.
Aux Pays-Bas, la législation est beaucoup plus souple qu’ailleurs ; les drogues sont toutes dépénalisées et la politique adoptée consiste à prévenir plus qu’interdire, preuve en est, le shop d’ecstasy placebo à Amsterdam. En conséquence, les Néerlandais qui prévoient d’acheter des stupéfiants vont plus facilement les faire tester, et font plus attention à ce qu’ils prennent, qu’ailleurs dans le monde.
Une question persiste néanmoins : à quand des labos de test dans les festivals français ?