George FitzGerald joue avec ce qu’il aime et ne se force plus à « être dans les clubs tout le temps », préférant passer plus de temps en studio – comme il nous le racontait lors d’une interview dans le Trax #209 (actuellement en kiosques). Son dernier album, All That Must Be, est l’oeuvre d’un artiste qui a décidé de se réorienter vers la création instrumentale, autour du piano et de ses synthés analogiques. Après des années de DJ sets aux quatre coins du monde, George FitzGerald se concentre désormais sur la performance live. Entouré d’un « full band », il se produira au Nouveau Casino à Paris jeudi 22 mars prochain, et présentera à la fois son nouvel album plus orienté acoustique, « avec des superpositions de boîtes à rythme et de batterie », et son album précédent Fading Love.
« Ça, ce sont les méninges/cerveaux de mon studio. Tout rentre et sort de ces deux supports/étagères. »
Dave Smith OB-6
« La clé de mon spectacle live. Le OB6 est un vrai coup de coeur. »
« La pièce centrale de mon show. Je contrôle tout à partir de ça. »
Roland TB-303
« La 303 est une pièce intemporelle. Elle est partout dans mon album. »
« La tour de contrôle de mon studio. »
Roland SH-101
« Le 101 est le synthétiseur que j’emporterais sur une île déserte. Je pourrais faire des tracks seulement avec ça. »
Sequential Circuits Prophet 5 Rev2
« Le Prophet 5 rev2 est ma pièce la plus extravagante. En réalité, elle passe la plupart du temps à se désaccorder. »