1/ Peut-on revenir sur l’histoire de ce nom ?
Les pics sont plutôt sympas quand on tape “sword” dans Google Images.
2/ Qui d’autre gravite dans ta team ?
Je n’ai pas vraiment de crew, je ne me préoccupe pas beaucoup de ce qui se passe localement, à par bien sûr Dviance et sa bande, Rebecca à Lyon. Gros big up aussi à la team PERMALNK de Paris qui me suit depuis un bail et à celle du RIAM de Marseille qui m’a permis d’intégrer la prochaine sélection SHAPE.
3/ Ton parcours en quelques mots-clés ?
C’est un parcours de bedroom producer, je fais des tracks sur mon ordinateur et j’en sors de temps en temps. La plupart des sons que j’écoute sont faits par des personnes qui ont quelques centaines de followers sur SoundCloud et ce sont presque les seules choses qui influencent mon son sur ce projet. C’est cool que des tas de gens produisent en dehors des circuits de distributions classiques, ça permet une vraie émancipation et ça se ressent dans tous les genres et sous-genres quasi éphémères qu’on peut trouver aujourd’hui.
4/ Si tu devais définir ton son aujourd’hui…
Je pense garder une certaine corporalité dans ma musique sans pour autant coller à tout prix à un genre en particulier. Il n’y a rien de statique ou d’établi, c’est bien de rester dans le flou.
5/ Des maxis en préparation ?
Je n’ai pas ressenti le besoin d’en faire jusqu’à maintenant. Je publie régulièrement des sons en téléchargement libre sans m’imposer une ligne directrice et il n’y a aucun label ou collectif avec qui je suis réellement engagé.
6/ Si je regarde un peu tes playlists du moment, j’y trouve quoi ?
Alors, en vrac ces derniers jours, je fais pas mal tourner des tracks de B.YHZZ, Swan Meat, 5tarb01, Zakmatic, Baby Blue, GIL… Il y a également l’OST de Silent Hill 1 qui est complètement folle, même si Halloween est déjà passé.
7/ Il y a quoi à l’horizon pour toi ?
Je prépare un son pour une compilation de “Hueco Mundo”, il y aura pas mal de potes dessus, ça va être lourd !
8/ Un dernier mot ?
Bisou.